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Affichage des articles du janvier, 2013

L'eyeliner Kiko qui ne passe pas le cap !

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Kiko, c'est une marque que j'apprécie particulièrement pour tout ce qui est vernis ( clic par ici ) et fards à paupière. Ils ont un choix exceptionnel et des couleurs lumineuses qui changent vraiment de l'ordinaire ( par ici pour un make-up très coloré ). A des prix relativement corrects, en plus ! Que demande le peuple ? Et bien le peuple, il demande que l'eyeliner liquide soit pile à la hauteur des fards et des vernis, c'est pas compliqué quand même ! Pourtant, j'avais testé sur ma main plusieurs des couleurs de l'eyeliner liquide Kiko avant d'acheter la couleur bleue, et j'avais trouvé qu'ils tenaient plutôt bien. D'autant plus qu'en général, je ne ménage pas mes mains au quotidien (et elles ne me remercient pas d'ailleurs...). Bref, un premier test passé haut la main. En revanche, l'essai n'a pas été transformé, la preuve en image ! Dès le début de la matinée, j'ai dû toucher mes yeux, et voilà ce qu

J'ai lu : le Procès de Kafka

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Le Procès, en voilà un titre bien audacieux quand on sait qu'il n'y a pas un brin de procès dans le récit ! Pas de procès donc, mais l'ombre d'un procès qui plane sur le narrateur, Joseph K.  Un livre qui commence de façon étrange : Joseph K. se fait arrêter de bon matin par des inconnus. Arrêter, en fait, pas vraiment. Ces inconnus lui indiquent juste qu'il va être jugé... un procès. Pourquoi ? Il ne sait pas, eux-mêmes ne le savent pas non plus. Il est arrêté donc, mais continue à vivre normalement. Les inconnus partent, lui-même reprend le cours de sa journée en allant travailler. Simplement, il doit se rendre à des convocations où personne n'est capable de dire quelles accusations pèsent contre lui, prendre un avocat dont le travail est de soudoyer les juges afin de les convaincre qu'il est innocent. Innocent, mais de quoi ? Un livre traité de façon absurde mais en même temps hyper réaliste, dont le contexte est épuré à l'extrême, un c

Et pourtant, j'en ai des choses à dire...

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N'y a-t-il que moi, ou l'année 2013 est en train de s'écouler dans une faille temporelle de type "vitesse-accélérée", mode "pilote-automatique", mention spéciale "pas-le-temps-pour-le-blog" ?? Je ne sais pas, peut-être quelque chose s'est cassé, ou alors juste déboîté, mais je n'y arrive plus . Je ne réussis pas à écrire, à mettre à jour, jour après jour mon blog. Depuis quelques mois, depuis que Chéri m'a rejoint à Lyon, j'ai perdu tout rythme . Je ne travaille pas plus pourtant, mais j'ai l'impression que tout prend beaucoup plus de temps.  Faire la cuisine, dîner, lire les blogs que je continue à suivre malgré tout, mais encore plus à l'arrache (et j'aime pô ça), et puis la TV ou les séries le soir, les discussions avec Chéri, jouer avec le chat... Bref, je ne vois plus que quand est arrivé l'heure de se coucher. Ma vie passe à un rythme complètement fou , effréné, comme s'il y avait

Le pourboire : rétro ou réglo ?

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J'ai un sérieux problème avec l'argent. Non pas que je sois sans le sou ou poche percée, rien à voir.  Non, mon problème, c'est que causer argent, ça me rend affreusement mal à l'aise . J'ai grandi dans une famille où l'argent, c'était un peu tabou. Pas vraiment complètement tabou, mais disons qu'on n'en parlait pas. J'ai toujours eu ce que je voulais quand je le voulais, j'ai jamais eu à bosser l'été, pas eu d'argent de poche ou quoi, une vrai enfant-roi ! Du coup, je suis nulle dès qu'il faut parler d'argent . Négocier quelque chose dans un magasin est au-dessus de mes forces, même si, croyez moi, je me soigne (parce que bon, c'est bien gentil tout ça, mais je gagne pas non plus des milles et quand on peut économiser par ailleurs, bah c'est toujours ça de pris). Causer salaire ou demander à mon patron de payer une partie de mon déménagement, ah là là, je dois prendre sur moi sérieusement. Et le pire,

J'ai lu : l'attrape-coeur de Salinger

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Enfin un livre de ma liste des 1001 livres, YES ! Avec ce livre, tout a commencé par un affreux malentendu. L'attrape-coeur, pour moi, c'était ce film avec Vanessa Paradis et Romain Duris, genre une bonne grosse histoire d'amour. En fait non. Parce que la grosse histoire d'amour, c'est l'arnacoeur, pas l'attrape-coeur. Rien à voir, donc ! Sur les 250 pages, j'ai bien passé 60 pages à chercher en vain quand aurait lieu la grosse histoire d'amour. Bin j'ai pas trouvé. J'ai pas vraiment non plus trouvé le fil conducteur de ce livre. Cela dit, vu que l'histoire est celle d'un ado qui n'arrive pas à trouver de sens à sa vie, il est bien possible que l'absence de fil conducteur soit le fil conducteur. Vous voyez ?! L'histoire, donc, arrivons-en à l'histoire : il s'agit d'un ado de bonne famille qui est encore une fois renvoyé de son collège. Il nous raconte avec ses mots et ses tics de langage

J'ai vu : De l'Autre côté du Périph

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La semaine dernière, je vous parlais ciné et nouvelles résolutions , du coup j'en ai complètement oublié de vous parler du film qu'on avait vu ! La honte ! Comme le titre l'indique (oui, je radote déjà), il s'agit de la dernière comédie avec Omar Si et Laurent Lafitte, De l'autre côté du Périph. Bon, c'est bien simple, je suis tombée sous le charme de Lafitte, son personnage m'a fait rire, mais rire... Certes, je suis bon public, j'avoue ! L'histoire. Bah, on s'en fout un peu, en fait, non ? Elle est juste prétexte à de bonnes blagues et au jeu d'acteurs entre Lafitte et Si.  Allez, si vous insistez : il s'agit d'un meurtre dans une banlieue parisienne, de deux flics que tout sépare, le snob et le banlieusard, et de faire tomber de grosses têtes pas gentilles du tout. Bref, l'histoire se tient, on est bien pris dedans et on passe un bon moment. C'est vrai que c'est plein de clichés et tout et tout, m

Comment moins gaspiller les produits alimentaires

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Je viens d'entendre un chiffre aberrant : 30 à 50% des produits alimentaires sont gaspillés et finissent à la poubelle, alors qu'avec la production actuelle, on serait capable de nourrir 9 milliards de personnes, soit largement plus que la population mondiale. En gros, ça veut dire qu'à chaque fois qu'on fait nos courses, UN TIERS a minima de ce qu'on achète est jeté : c'est énorme ! Comment éviter ce gâchis et en même temps faire des économies ? 1) s'or-ga-ni-ser avant . Pour moi, le minima du minima quand on va faire les courses, c'est d'avoir une liste. Et pour faire une liste, c'est bien simple, je commence par faire mes menus pour une semaine. En général, un plat nous fait 2 repas : le soir et le lendemain midi (notre gamelle). En gros, 7 jours, c'est 7 repas différents donc. Je prévois aussi un repas de midi au restau à la gargote du coin et je laisse un repas vide parce qu'il arrive toujours une couille dans le po

J'ai lu "Au bonheur des Ogres" de Daniel Pennac

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Aujourd'hui, c'était sortie teambuilding au boulot (oui, ça revient très souvent, va d'ailleurs falloir que j'en parle) et les quelques heures de train au retour m'ont enfin permis de terminer ce livre que j'avais commencé il y a fort fort lointain longtemps. Bon, "terminé", c'est un bien grand mot, j'ai quand même lu plus de la moitié du livre (de seulement 280 pages en tout !). Bref, arrêtons de divaguer et revenons à l'essence-même de ce billet. "Au Bonheur des Ogres", c'est un roman à l'humour noir. L'histoire : Benjamin Malaussène est un héros pas comme les autres. Pour nourrir sa fratrie nombreuse (due à une mère aimant beaucoup s'enfuir avec des hommes mais peu les responsabilités), il exerce un travail très spécial : Contrôleur-qualité Bouc-Emissaire dans un grand magasin. Il est également doté d'un chien péteur, dragueur et à l'haleine fétide, et d'un ami dont le grand trip est de s

[make-up] salade de fruits jolie jolie jolie... et très simple !

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Oui je sais, mon titre est pourri. Je voulais mettre maquillage kiwi-pêche, mais bon, ça ne sonnait pas terrible. Et puis comme ça, j'aurai en tête cette chanson que me chantonnait ma grand-mère pendant toute la soirée ! Bref, là n'est pas la question ! On n'est pas là pour parler ni cuisine ni musique, mais pour un petit make-up simplissime mais qui illumine le visage. Comme quoi, il en faut peu pour être heureux illuminé ! Simplissime donc : - 2 couleurs, un orange et un kaki mat, - 1 mascara, - 1 pinceau estompeur et un pinceau plat. Avec le pinceau plat, poser la couleur orange sur toute la paupière mobile. Avec le pinceau estompeur, poser dans le creux externe de kaki et bien estomper dans le creux de l'extérieur vers l'intérieur. Reprendre le pinceau plat et apposer le kaki au ras des cils inférieur. Un p'tit coup de mascara, on est même autorisé à en mettre deux couches pour que les yeux ressortent bien, et zou, le tour est joué ! Et v

8 janvier et déjà un ciné de fait !

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Encore une histoire de bonne résolution, me direz-vous. Et vous n'auriez pas tort. Pas la mienne, cela dit, mais celle de Chéri : aller plus souvent au cinéma en 2013 (et donc, comme il est hors de question que chéri aille draguer au cinéma, je me sens obligée de l'accompagner, hum...). Il faut dire qu'à Bruxelles, on habitait un peu loin des cinémas, du coup, on n'y allait quasiment jamais.  A Lyon aussi, le ciné n'est pas à côté de notre appart. En revanche, on a une salle de ciné entre nos 2 boulots !  Du coup, on a décidé d'y aller au minimum deux fois par mois, et si possible, une fois par semaine directement en sortant du boulot, sur les coups des 18h.  Pourtant, je n'étais pas convaincue à la base, d'enchaîner boulot et ciné d'une part, sur une séance de ciné un peu "bancale" niveau horaire, entre chien et loup... Et finalement, il s'avère que la formule nous convient plutôt bien en fin de compte : 1) ç

Bonnes résolutions et autres simagrées

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Le glas de la nouvelle année a sonné. Après s'être "bisouillés" au boulot, à se filer les derniers microbes de gastro traînant à droite à gauche, l'heure délicate des bonnes résolutions est venue. Ah les bonnes résolutions… celles sur lesquelles on se casse la tête le matin (brumeux) du 1 er janvier pour les oublier complètement dès le 1 er au soir ; bref, les bonnes résolutions. Mon grand classique d'après fêtes bien sucrées et saucées, c'est la résolution "régime". Une fois que je suis bien engraissée à coup de foie gras, de saumon fumé et de chapon, je suis fin prête à me priver de tout, manger du jambon blanc matin midi et soir, accompagnée de salade sauce moutarde-yaourt 0%... Que celles et ceux qui n'ont jamais pris cette résolution au moins une fois dans leur vie me jettent la première bouchée de galette des rois ! Une autre bonne résolution, celle de l'an dernier d'ailleurs, je l'ai évoquée dans ce billet .

Ma première galette des rois (à la crème d'amande)

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Depuis la diffusion de Masterchef, je suis repartie à fond les ballons dans la cuisine. La machine est relancée ! En plus, j'ai retrouvé mon commis de cuisine préféré, j'ai nommé Chéri ! Aujourd'hui, c'est l'épiphanie, une très bonne occasion de faire une bonne galette des rois 100% maison ! 100% maison, y compris la pâte ! Bon d'accord, j'ai passé toute la journée sur la pâte feuilletée, mais ça en valait franchement le coup ! La recette, un mélange de Mercotte et de mon livre de cuisine préféré, mon Pellaprat  : la pâte feuilletée inversée de Mercotte et la crème d'amande de Pellaprat, et zou, au four, non sans avoir cherché partout et en vain une fève... de désespoir, on finira par mettre une dragée ! Une amande parmi les amandes... Pour la pâte feuilletée inversée, j'ai fait tout comme Mercotte ici , ce qui m'a donné environ 1 kg de pâte feuilletée : la moitié pour ma galette, et l'autre pour assouvir l'appétit