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Affichage des articles du avril, 2013

En vrac et pas dans l'ordre !

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Un message rapide sur mon blog, que je délaisse, honte à moi ! En cause, beaucoup beaucoup de boulot, avec déplacements à droite à gauche inside. Une crève que je n'arrive pas à faire guérir depuis 1 semaine et demi, et qui me pompe pas mal d'énergie. Et enfin ce soleil qui dès qu'il nous fait le plaisir de sortir, m'obnubile et me conduit direct sur ma terrasse avec bouquin ou envie de petite sieste ensoleillée !  D'ailleurs, je vous écris en direct live de la terrasse, le soleil vient de disparaître de notre champ de vision, les hirondelles piaillent gaiment et les brochette grillent gentiment sur le barbecue (hiiiii, j'ai trop faim !). J'ai pourtant des choses à dire ! En vrac : - mes semis de fleurs estivales sortent, j'adore les regarder pousser matin et soir ! - j'ai créé un autre blog fashion et sans doute make-up aussi, qui ne va pas franchement chambouler l'organisation de Mots & Emaux, sauf que désormais, on ne p

Celui qui ne réalise pas...

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Pour une fois, ce n'est pas de me, myself & I qu'on va parler : aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Chéri. Ayé, il franchit le grand cap, quelques semaines avant moi. La trentaine .  Celle du grand saut vers le monde adulte.  - à 20 ans , on est encore quasiment des enfants (quand je revois ma bouille d'alors, comme j'étais gamine quand même !) - à 25 ans , on est encore entre deux mondes, celui des études et celui du boulot. On commencer à changer de peau doucement, perdre la peau tendre de l'enfance pour s'aguerrir dans la nouvelle peau d'adulte qui s'assume. - mais à 30 ans ? C'est bien l'âge où l'on ne recule plus. On a un boulot fixe, on se trouve une moitié, on se prépare à fonder une famille (si ce n'est pas déjà fait). Bref, à 30 ans, on ne rigole plus (façon de parler, hein ?). Chéri ne voulait pas fêter son anniversaire. De toute façon, ce soir, on est rentré à 19h30... Pendant que monsieur

La prof qui déprimait

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Je sais, je suis à la limite de la cruauté. Un manque total de compassion, d'empathie vis-à-vis d'autrui. Peut-être. Mais je revis, moi, en attendant ! La prof de théâtre. Rappelez-vous, celle du théâtre statique . Celle qui me faisait cruellement regretter mes 500€ d'inscription annuelle (regrets éternels, à Limoges, je payais pour un atelier identique 30€…) (non mais sinon, Lyon, c'est super top comme ville) (Ai-je mentionné le prix d'une bière belge dans un bar lyonnais ? Non ? Mieux vaut pas en fait, il y a un rapport de 3, voire de 4, entre les deux, regrets éternels). Celle qui me faisait traîner des pieds, tous les mercredis à 18h : j'y vais, j'y vais pas ? Bah, j'ai pas de bonne raison de pas y aller. Voyons voir… la semaine dernière, j'avais réunion au fin fond du Dauphiné (libérée !), la semaine d'avant, j'avais la migraine (libérée !), la semaine encore d'avant, c'était l'anniversaire de la c

La première, c'est la plus dure...

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Je parle de recherche d'emploi, là. Rien de sexuel ou quoi, hein ?! Sans rire (d'ailleurs, c'est pas drôle de chercher du boulot, plutôt déprimant à vrai dire), j'ai recommencé à faire le tour des sites internet d'employeurs potentiels depuis quelques semaines.  Comme dit, c'est un brin déprimant, une histoire de crise paraît-il... La bonne nouvelle, c'est que parmi toutes les offres qui ne correspondaient pas à mon profil, j'en ai vu une et une seule qui collait à peu près : adore la communication (tout à fait moi), la négociation (une pro vous dis-je, une pro), le transport public (c'est-pour-moi-c'est-pour-moi-c'est-pour-moi). Bref, je ne pouvais plus reculer, fallait y aller. Entre le moment où j'ai vu l'annonce et le moment où j'ai postulé, 2 semaines se sont écoulées. A coup de "bon ce soir, je postule !" "bon, il est 19h, j'ai faim, je postule dès la fin du repas" "allez motiv

Le complexe du mariage

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Je sais pas ce que certaines personnes ont contre le mariage, mais ça m'épate toujours un peu. Ca doit virer un peu à l'allergie sans doute ! Parmi mes ami(e)s, j'étais quasiment la dernière à me marier. Du coup, j'avais l'impression que le mariage en tant que tel était redevenu une valeur "dans l'air du temps". Après les années post-1970 où le mariage était totalement has-been, ringard et compagnie, les années 2000 ont vu revenir en force ou presque  les célébrations de mariage. Parce que le mariage, ce n'est plus ce passage obligé entre la vie chez les parents et la fondation d'une famille. Ce n'est plus une obligation qui permettra de "fréquenter" le sexe opposé. Ce n'est plus ni une prison, ni une tractation entre 2 familles. A contrario, ce n'est pas non plus la demande à l'américaine au restau avec le solitaire gros comme un oeuf dans le soufflé au champagne, et pas non plus la robe blanche, l'aute