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Là où je vous parle de mes ancêtres... et de mon père aussi

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Ca, c'est les plus vieux ancêtres de ma famille que j'ai pu retrouver en ligne. Oui, je sais, ça se voit pas trop comme ça, mais je suis sure qu'on avait le même nez avec la bosse au milieu et des doigts de pieds grecs.  Si si, ces deux tares particularités me viennent de mon père. Donc de ces deux cocos là, dont le mariage a été célébré un beau jour venteux mais ensoleillé de novembre 1690 (non, je n'invente pas, je crée un contexte, rien à voir !). Voilà, je suis démasquée : je fais de la généalogie. Une lubie qui nous a pris, mes parents et moi, en 2005. Qui a duré environ une semaine. Passée intensivement le nez dans les microfilms des archives départementales du Limousin, à manger entre midi et deux les kinder du distributeur d'à côté pour pas laisser sa place. Convoitée. Pas touche à mon pupitre, sal*pe ! Dans la famille de mon père, il y avait un Erhmann. Nom de famille, hein, pas prénom. Pas vraiment commun en Limousin, surtout avec ce ...

Hier, j'ai passé un entretien...

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Sur un poste qui me correspondait plutôt pas mal. Dans une boîte qui me plait carrément... Bref, tout ça pour dire que depuis 1 semaine, je prépare mon affaire, questions, réponses, questions, réponses, en boucle et avec entrain, motivation, qualités (pas de défaut, jamais !), présentation, et bla bla bla... L'entretien, disions nous. Je n'avais pas commencé à parler depuis 3 min que le directeur me posait une question sur une partie de mon CV que j'étais encore loin d'avoir abordée. Il n'écoutait pas. L'autre directeur regardait mes pieds. Oh my god. Je n'avais pas prévu ça. Qu'on regarde mes chaussures, je veux dire. Certes, elles sont confortables, renforcées contre le froid et tout, mais... pas vraiment cirées.  Ni très nickel niveau entretien.  Patinées, en un mot.  La honte.  J'aurais mieux aimé qu'il se concentre sur mon make-up, parfaitement réalisé de main de maître... ou sur ce que je disais. Eventuellement. ...

Késako Kiko ? Du vernis trop bien, bien sûr !

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Ca y est, je suis amoureuse... de mon vernis (bah quoi, c'est pas la St Valentin, bientôt ?) ! Complètement par hasard, en attendant une correspondance à Cologne, je me suis baladée dans la ville, et suis tombée pile sur le magasin Kiko ! J'étais sure d'en avoir entendu parler sur les blogs beauté, mais impossible de me rappeler si c'était en bien ou en mal. A force, tout se mélange, quand on n'a jamais testé... Ni une, ni deux, je rentre dans le magasin déjà bondé. Je fais le tour difficilement, entre les groupes de nanas hystériques, m'arrêtant à chaque pas, regardant tout en détail. Jamais vu autant de choix dans une même marque de vernis, de fards à paupière, de rouge à lèvres... Je regrette de ne pas avoir mon appareil photo prêt à dégainer. Et puis je me mets à farfouiller dans les soldes, sans grande conviction, parce que j'ai en tout et pour tout un billet de 5 euros dans mon portefeuille (et qu'on ne sait jamais si les magasins allem...

Organiser ses repas : entre casse-tête, plaisir et cuisine...

Je suis une fille super organisée. C'est d'ailleurs toujours ce que je dis en premier comme qualité, quand je passe un entretien. Avec la modestie, bien sûr ! Sans rire, c'est super bateau, mais tellement vrai. Bon, en vrai de vrai, je suis une désorganisée-au-naturel, qui au bout d'un moment, ne supporte plus son propre bordel et finit par ranger, trier, lister, bref, s'organiser ! Pour les repas, après quelques années de joyeux bordel, à se balader gaiment dans son supermarché en remplissant son panier un peu au hasard, à passer ensuite au marché et choisir des tonnes de légumes et fruits, puis à ensuite avoir une telle flemme de cuisiner que les légumes racornis et vieux de 3 semaines terminaient en soupe et la viande à la poubelle après l'avoir passée à l'eau pour tenter d'éradiquer l'odeur d'avarié, cuite, et jetée... beurk ! Bref, depuis quelques années maintenant, j'ai pris une sacrée bonne résolution (et c'était mê...

Shopping à Bruxelles !

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Bruxelles, c'est comme Paris : il y a vraiment des quartiers bien spécifiques et différents pour chaque "style" de magasins. Aujourd'hui, je vous présente les 2 quartiers les plus connus qui sont situés à côté du centre historique. Commençons par la Rue Dansaert (1) . Pour moi, c'est LA rue de la fringue chic mais pas de luxe. Genre Sandro, Maje, Comptoirs des Cotonniers, IKKS, Replay, Bobby Brown et bien sûr, tous les créateurs belges. "A faire plutôt pendant les soldes", me dit mon portefeuille, toujours (trop) sage... Image empruntée ici Une fois les magasins de la rue Dansaert dévalisés innocemment visités, vous pouvez aller faire une petite pause un peu de tourisme du côté de la Place Ste Catherine (2) , avec l'église qui est en cours de restauration, et le Quai aux Briques (3) où on trouve pas mal de restaurants de poisson. Savez-vous qu'avant, ici, c'était un canal qui passait ? Bruxelles était un port de mer jusqu'au ...

3 générations, 1 crêpière => 3 Chandeleur différentes ! [part 3 : Et moi dans tout ça ?] [Recette inside]

Les fêtes où l'on mange des desserts, j'adore ! Il devrait d'ailleurs y en avoir plus dans l'année ! La Chandeleur, pour moi, c'est sacré, du genre sacro-saint qui ne se loupe sous aucun prétexte ! Rapport à ce que pendant des années, j'ai enchaîné les crêpes de ma grand-mère le midi et les crêpes de ma mère le soir ! Du coup, il me faut ma dose de crêpes à la Chandeleur !! Ma spécialité : la soirée crêpes ! Quand j'étais étudiante, j'étais LA spécialiste de la soirée crêpes ! Dans ma cuisine, devant ma cuisinière, je préparais à flux tendu les crêpes pour mes invités, qui mangeaient dans la cuisine par contre. Parce que la soirée crêpes avec les invités dans la salle à manger, c'est pas très passionnant pour le cuistot ! Une soirée crêpes, chez Kimie, c'est : -  2 pâtes à crêpes différentes : une à base de farine de sarrasin pour les "galettous" (salés donc), et une normale. - jamais de matière grasse ni de sucre dan...

3 générations, 1 crêpière => 3 Chandeleur différentes ! [part 2 ou catastrophe maternelle]

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Hier , je vous parlais de la Chandeleur chez ma grand-mère.  Aujourd'hui, place aux crêpes maternelles ! Déjà, je plante le décor : ma mère n'aime pas les odeurs de bouffe dans la maison. On ne mange donc pas de beignets pour le mardi gras, et jamais au grand jamais de frites baignant dans l'huile, ma mère étant d'ailleurs une pro de la frite au four surgelée ! Les crêpes, c'est donc une fois dans l'année, pas deux ! Et c'est bien parce que c'est une tradition, sinon, ça ferait longtemps qu'on mangerait des crêpes au four surgelées ! En fin d'après-midi, ma mère prépare sa pâte à crêpes. Au pif. Jusque-là, pas de différence fondamentale avec ma grand-mère. Sauf que. Sauf que si la pâte de sa mère est au pif millimétré tous les ans pareils, celle de ma mère est au pif de pif. Le pif que ça passe ou ça casse. Le pif qui te fait jeter les crêpes parce qu'elle a réussi l'exploit de rater la pâte, de les faire à la fois...